samedi 14 juin 2014

DOSSIER IDENTITE NATIONALE : LE SCANDALE DU PROCHAIN 14 JUILLET 2014

Voici qu'on annonce le défilé de troupes ou de militaires algériens, sans aucun doute sous le drapeau algérien, au défilé des Champs Elysées du 14 juillet prochain.

J'appelle tous mes lecteurs à nous rejoindre, nous autres qui sous la direction de mon ami Gilbert COLLARD signons sa pétition contre ce scandale.

C'est sur le site  Internet N.P.I.

dimanche 1 juin 2014

DOSSIER AVOCATS: REFLEXIONS D'UN AVOCAT SUR LA RICHESSE DES CLIENTS



Voici que successivement l’Italie et le Royaume –uni envisagent le plus sérieusement du monde  d’inclure les revenus illégaux,  soient par exemple ceux tirés de la prostitution et du trafic des stupéfiants, dans le périmètre de détermination du produit intérieur brut de chaque  pays. Et pourquoi pas Tracfic aussi  pendant qu’on y est ?

Du  coup, il parait que les chiffres  correspondants vont bondir,  estimés en milliards d’unités de référence, euros ou livres sterling.

Alors, les moralistes habituels vont essayer  de protester vertueusement, jusqu’au moment où il faudra bien se rendre à l’évidence. Parce que par  exemple, les stupéfiants,  c’est du fric. La réalité, c’est la réalité. Le surplus est commentaire. Point.

Voici qui me rappelle qu’un astucieux mandataire  judiciaire marseillais,  alors mon client,  m’avait demandé – je n’ai jamais su vraiment s’il était sérieux, et aujourd’hui j’ai bien l’impression qu’il l’était – de trouver une solution juridique pour imposer le retour à l’actif d’un commerçant failli dont il était le liquidateur  des stupéfiants qu’on avait saisis chez lui et qui l’avaient conduit derrière les barreaux,  en plus de son passage au tribunal de commerce.

Après tout, le liquidateur judiciaire n’était jamais qu’en avance  de raisonnement sur les autres. Les stupéfiants, c’était bien  là des éléments  à revendiquer dans la stricte logique de sa mission légale de recouvrement des actifs.

Remarquez que quelque part, dans le rapport existant entre un client  de certaines affaires pénales et l’avocat, la considération par  celui-ci de l’aisance de celui-là est nécessairement  prise en  compte. 

Moi qui ne fais pas dans ce genre de clientèle, je ne sais pas vraiment.

Mais j’imagine que ça doit être vrai  par exemple au moment où on apprend par la presse que le procureur de la République de Marseille a fait appel d’une décision d’il y a 48 heures de juge des libertés de ne pas placer en détention un avocat local apparemment gravement soupçonné d’être allé nettement  trop loin en défendant un trafiquant apparemment de fonds seulement à l’instant.

Superbe réflexion pour les   bâtonnier et conseil de l’ordre avec.

Là, les amis, c’est du lourd… Ca vous changera un peu de votre ordinaire, soit celui des règlements de compte du genre de la cour des petits à l’école maternelle.