« « Seules
les sociétés homogènes comme le Japon, ayant refusé de longue date
l'immigration de masse, et protégées par des barrières naturelles, si elles
n'ignorent nullement les trafics de mafia, échappent à cette violence de la
rue.
Notre
territoire, privé de la protection de ses anciennes frontières, renoue dans les
villes, mais aussi dans les campagnes, avec les grandes razzias, les pillages
d'autrefois, les Normands, les Huns, les Arabes.
Les
grandes invasions d'après la chute de Rome sont désormais remplacées par des
bandes de Tchétchènes, de Roms, de Kosovars, de Maghrébins, d'Africains, qui
dévalisent, violentent ou dépouillent.
Une
population française sidérée et prostrée crie sa fureur, mais celle-ci se perd
dans le vide intersidéral des statistiques » ».
Il
n’y a rien à changer, il tout vu, tout compris Eric ZEMMOUR l’auteur de
ces quatre paragraphes.
Ni
le judaïsme séfarade de ZEMMOUR, auquel j’appartiens par un minuscule
morceau, ni la grande secte juive que
constitue le christianisme tout entier, à laquelle j’appartiens pour le
surplus, n’ont jamais élevé la razzia au niveau du principe.
Le
mot lui-même dit tout. Paul ROBERT le définit créé en français en 1841, rapporté par les soldats de l’armée d’Afrique
(1). Du mot arabe d’Algérie, rhazya,
classique : rhazawa ; « attaque ».
Il
est normal que le mot ait été créé en Algérie : ce qu’elle est aujourd’hui
est tout simplement une imparfaite invention coloniale française.
Jusqu’en
1865 environ, l’Algérie n’a jamais été domptée sur le terrain où tout n’était
que désordre et insurrections locales de petits chefs, et surtout pas par les Ottomans qui en ont
perdu le contrôle officiel en 1830, lorsque BOURMONT a pris ALGER. Il a fallu
la prise de la smalah d’ABDEL KADER par
le duc d’AUMALE pour remettre un peu d’ordre localement. Ca n’a finalement duré
que 100 ans à peine.
Quand
je pense qu’une collectivité de crétins ignorants veulent la peau d’Eric
ZEMMOUR qui ne fait que la synthèse de l’histoire…
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(1) Une partie des miens..
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